Enfin ce sont les nues, on voit monter leur orgueil spacieux,
des bandeaux de soie se laissent frémir, blêmir les bras,
qu'ils emportent ces cris debouts, ces calices à peine hantés
par la fraîcheur des jeux et les épouvantes de la chair
© Thierry Delhourme
Les Corinthiennes
